La colère de la Terre
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 Chapitre 1 = L'ombre des arbres

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Boroniste
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Boroniste


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MessageSujet: Chapitre 1 = L'ombre des arbres   Chapitre 1 = L'ombre des arbres Icon_minitime1Dim 8 Mai - 15:06

Je courus, courus encore et toujours. Les branches me fouettèrent le visage, mais je ne m'en souciai guère. Je trébuchai avant de reprendre ma course. Je courus comme je n'avait jamais courus, je courus, comme si j'avais la mort aux trousses. Et c'était à peu près le cas. Ce qui m'avait ammené ici ? Je ne m'en souviens plus. Tout était trop confus, trop mélangé. Ce que je savais, par contre, c'était que si je m'arrêtais, je mourrais.

Derrière moi, j'entendais des gloussements et autres caquètements. Des cris stridents retentissaient autour de moi. Ce qui me poursuivait, me rattrapait. Mes poumons étaient en feu et j'avais, à chaque enjambé, l'impression que mes poumons allait exploser ! Je suis athmatique, ce qui n'arrange pas les choses. Je ralentissai, inexorablement, alors que les sortes d'orang-outans armés me ratrappait. J'était foutu, me disais-je.

Je voulu regarder en arrière. Ce fut une grossière erreur de ma part. Alors que je regardai d'autres créatures orang-outans rejoindre les autres, je me pris en pleine figure une branche basse.

Je m'affallai par terre et je vis les espèces d'orang-outangs me ratrapper. J'eu alors comme un flash-back. Ma vie défila devant mes yeux, je vis nettement les scènes de ma vie comme j'y étais.

Je m'appellai Quentin. Quentin Nomlas. J'ai 15 ans et je vie en France dans les Pays-de-la-Loire. J'habite en campagne, dans une maison modeste, mais assez grande tout de même. J'ai deux grands frère et une petite soeur. Mes grands fères sont des jumeaux qui se sont lancés récemment dans le commerce de grande surfaces. Ma soeur n'avait que 8 ans et elle adorait les poneys, ce qu'elle me rabachait tout les jours ! Mon père faisait une collection de pipes et il était toujours à l'affut d'une autre pièce, ma mère était nourice, il y avait donc un vacarme de pleurs et de cris en bas (ma mère venait de débutée, je précise). Je m'enfermais donc dans ma chambre où allais me promener dehors. Mon activitée préférée était la pêche ! Avec mon père, on y allait souvent. Il y avait un étang non loin de là. Celui-ci était rempli de carpes et de brochets ! Bien sûr, ce n'était pas pour les manger, on les relachait après ! C'était juste une activité. J'allais aussi faire du vélo avec mes deux meilleurs amis Aurélien et Michael ! Bien sûr, outre ces activités, j'allais à l'ordinateur ! Je jouais beaucoup dessus, je faisais le “geek” ! Je participais aussi dans une communauté de jeux de rôles papier ! De temps en temps, j'allais en ville pour y joué ou être maitre de jeu.

C'est hier, que ça c'est passé. Avec mon père, nous allions à l'étang pêcher. Je voyais défiler les paysages devant mes yeux, avans d'y arriver. Rendus, nous nous installâmes et attendîmes.

Mon père était alors partit chercher des asticots lorsque je fut témoin d'un phénomène des plus étranges ! L'eau devans moi commençais à bouillir ! Je me penchai en avant pour mieux regarder. L'eau avais pris un teint rougâtre. Je me penchai encore un peu plus et... SFOUCH ! L'eau monta dans les airs, tel un geyser !

Ma tête fut engloutit dans l'eau rouge et singulièrement chaude. Je basculai en avant, en tombai dans l'étang, avant d'atterir lourdement sur un sol marécageux. Je m'évanouis, alors.

Lorsque je me réveillai, une branche me chatouillait le nez. Du revers de ma main gauche, je l'écarta en me relevant douloureusement. J'avais l'impression que j'avais fait une chute de plusieurs kilomètres de haut ! Ma vision était floue et je dû m'appuier contre un arbre pour ne pas tomber. Lorsque ma vue se rétablie, ce qui pris un peu de temps, je m'aperçus que je me trouvai dans un marrais, au beau milieu d'une forêt de pins sombres !

En premier temps, j'essayai de me dégager de ce bourbier. Je n'y arrivais pas. A vrai dire, je m'étais plutot enfoncé ! La panique m'envahit comme une bouffée de fumée. Ce marécage était un vrai sable mouvant ! Je criai “à l'aide!!!!!!”.
Je me doutais bien que personne n'allait répondre, mais entendre ma voix me faisait du bien. J'appellai encore une fois à l'aide, puis au secours. Seul le frémissement du vent dans les branches des hauts arbres me répondirent.... avant que j'entende des glapissements et des cris aigus. Je lâchai un juron. Au lieu d'appeler du secours, j'avais rameuté je ne sais quels animaux ! Les hurlements se raprochaient. Bravo, Quentin. Tu pouvais être fier de toi !
J'essayai encore une fois de me dégager. Ce fut en vain. Je m'enfonçai encore plus, et les bruits étaient tout proches ! Une boule se forma dans ma gorge. Du regard, je cherchai un échapatoire. La branche qui m'avait réveillée pendait toute proche, à portée de main. Vite ! Je la pris dans mes mains, et après quelques tentatives, je me hissai hors du bourbier. Maintenant, les créatures étaient à l'autre bout du marais, c'est à dire à peine quatre-cents mètres de moi.

C'était des sortes d'orang-outans habillés de cuir et portant une ou deux armes en bandoulière. Contrairement à la plupart des singes, ils avaient l'air d'avoir un brin d'intelligence en plus ! Ils m'envoiyèrent des bâtons. En me retournant, je murmurai :

- Sales babouins braillards dégénérés !

Je reçut un bois en plein dans la nuque. Les avaient repris de plus belles ! On aurait dit qu'ils m'avaient entendu ! Mince, se pourrai-t-il qu'ils est l'ouïe fine ?

C'est comme ça que je me retrouva à courir à travers cette forêts, poursuivit par une bande de orang-outans intelligents !

Mais j'étais tombé; Je me retourna, regardant les orang-outans fèrrent cercle autours de moi. J'éttait foutu, mort d'avance. Ma destinée était de finir dans le ventre de singes dégénérés, donné en pature. Personne ne retrouverait jamais mon corps et mon squellette reposera dans le sol.

Un orang-outans me frappa au front. Encore une fois, je m'évanouit. Tout tournait autour de moi, encore une fois, je voyais floue. Mais c'était quoi ce bordel ? J'en avais marre moi, de m'évanouir !
Lorsque je me resaisit, j'était allongé sur le sol, dur cette fois. Les longues branches des arbes me recouvrait, faisant pensé à des mains crochus.

Les feuillages étaient dense, mais la lumière filtrait tout de même à travers. Je m'assis. Il faisait jour. Quand j'étais arrivé, il faisait sombre, c'est maintenant que je m'en rend compte ! Mais là, il fait jour, un grand et beau soleil était dans le ciel, on pouvait apercevoir ses rayons à travers le couvert des arbres.
Le pollen vollait dans la clairière où j'était. Soudain, un détails me frappa. Je n'était plus dans cette forêt de hauts pins sombres. J'était toujours dans une forêt, mais dans une forêt de connifères et elle était éclairée contrairement à celle des pins.
Soudain, derrière moi, j'entendit un cracement. Je me retourna. Rien. Seul une brise légère, me carressant la joue. Mais le bruit sec se renouvela derrière moi. Je me retourna encore, mais il n't avait rien. Encore ce cracement derrière moi. Et là, au lieu de rien, je vis un arbre avancer vers moi. Et derrière moi, deux autres connifères, un bouleau et chêne, avancaient vers moi. Pourtant, ils étaient plus petit que les autres arbres et ils se déplacaient sur leurs racines ! Une grande fente en travers de leurs troncs devaient servirent de bouche et deux yeux jaunes et secs étaitn coincés au dessus de la fente. Iils des trois s'adressa à moi, d'une voix rauque et lente :

- Cela fait longtemps que nous autres Mukians avont vu des Humains ! Oui, très longtemps...

Rien que pour dire cela, il dura au moin trentes secondes ! Il continua :

- Voit ce que ton espèce à fait de nous ! La Mystique à infectée notre mucus et nous a donnée vie ! Notre existence diminue, je sens la vieillesse !

Je remarqua, gravé sur son tronc ou son torse, je ne saurait le dire, un symbole représentant un elune, embrochée par une lance. Il continua à parler :

- Néanmoins, on t'as soigné, à l'aide de plantes ! Oui, cela fait très longtemps qu'on a vu un Humains... Le monde change trop vite.

Je n'acoutait pas trop son monologue, car j'était impressioné de voir d'étranges créatures sur Terre. Je m'éclaircis la george, et courageusement, je demanda :

- Où suis-je ?

L'arbre, ou plutôt la créature ne me répondit pas tout de suite. Elle semblait prendre son temps. Elle me répondit d'une voix encore plus lente qu'avant :

- Tu es là où il ne pourra plus rien t'arriver ! Tu es là ou la Lune et le Soleil se croisent, tu es dans le pays des Mukians !
- Des quoi ?! Fis-je, interloqué. Ces personnes devait être folles pour se déguiser et raconter des bêtises !
- Tu es chez les Mukians ! Les Arbes en Vie.
- C'est ça, je crois que je vais y aller....

Je me leva et me retourna, mais une douleur attroce, comme si on m'enfonçais un couteau dans le ventre me fit rasseoir. Les fous déguisés se raprochèrent, et un autre, celui déguisé en chêne me dit de la même voix rauque que sonn acolyte :

- Tes blessures ne sont pas encores toutes guéris. Calme toi.
- Mes blessures ? Je ne me suis pas blessé !
- Au que si ! Les Orouaigs ton frappé après que tu te soi évanoui !

C'est bone, j'avais la preuve que ces personnes étaient complètement détraquées ! Mais je suis de nature curieuse, je ne pu m'enpêcher de demander :

- C'est quoi un Orouaigs ?
- Ce sont de vils créaturent ! Elles infestent nos forêts, elles pullulles comme des cancrelas sous un rocher ! Elles attaquent les voyageurs égarés et ensuite....

Il marqua un temps d'arrêts. Je savais que c'était pour faire théâtrale. Ils étaient complètement fous. Il continua :

- Elles les dépècent et les fonts rôtirent comme de vulgairent animaux. Les Orouaigs sont cannibales ! Et la viande humaine est leurs préférés ! Et cela fait un longtemps qu'ils n'ont pas eux d'humains à manger.
- Et pourquoi ?

Encore une fois, je faisais le curieux !

- Les humains ont disparuent il y a bien longtemps du monde ! Ils été héradiqués. Tu es le seul à encore être vivant, apparament !

C'est bon, maintenant c'est sûr, ils devraient aller dans un asile de fous ! Les humains vivent partout sur la planette !
Soudain, un crie retentit, faisant frémir chaque feuilles et chaque brindilles. Les fous regardèrent le ciel. Un des trois me dit :

- Il faut qu'on y aille ! Repose-toi et tu seras guéris !

Il se fondirent discrètement entre les arbres. Ils disparurent de ma vue. La nuit tombait, il fallait que je me trouve un abris ! Mais avant, il fallait faire un feu pour éloigner les animaux !
Je rassembla des feuilles et des branches que je mis en tas au centre de la clairière. Heureusmenet que j'avais toujours un briquet sur moi ! En quelque secondes, j'eu une belle flambée. Je m'assis à côté, pour me réchaufé.
Soudain, sortant d'entre les arbres, un garçon de son age se posta devant lui. Je m'exclama alors en même temps que lui :

- Un humain ?!
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MessageSujet: Re: Chapitre 1 = L'ombre des arbres   Chapitre 1 = L'ombre des arbres Icon_minitime1Dim 8 Mai - 15:12

Je précise au passage que c'est moi qui est écris ce chapitre ! Je dis parce que vus que c'est Bobo' qui à poster, je suis sûr que certain n'aurons pas tout compris x) ! Donc, je redis : Bobo' écrit les aventures de Romain et moi celles de Quentin ! XD
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